Institut d'Enseignement à Distance
Université de Paris 8
Alcoolisme, Image du corps
et Sophrologie
Indication d'une thérapie de relaxation
pour améliorer l'image du corps lors
d'une cure de sevrage physique à l'alcool
Mémoire de Recherche
Maîtrise de Psychologie Clinique et Psychopathologique
Sous la direction de
Monsieur le Professeur P. ANGEL
et de Madame
S. SCHAUDER
Hubert AUDRA Etudiant n°71398 |
Année Universitaire 1999/2000 Session de Septembre 2000 |
"J'existe sans écho et je grandis sans
corps, mon secret jamais ne me quitte".
Vladimir NABOKOV, Poèmes et problèmes (1999).
"Guérir, c'est avoir un corps par la
sensation et le dire, le dire de la sensation bien sûr".
François ROUSTANG, La fin de la plainte (1999).
TABLE DES MATIERES
Remerciements 1
Table des
matières 2
Résumé 4
Mots clés 5
Avant-propos 6
Introduction 9
1 - Première Partie : Repères théoriques 11
1.1
– Quel corps pour quelle image ? Essais de définition 11
1.1.1 Les apports de S. Freud (1923) 11
1.1.2 Les apports de P. Schilder (1935) 14
1.1.3 Les apports de F. Dolto (1984) 16
1.2
– La structuration de l'image du corps 18
1.2.1 Le passage d'un corps vécu comme morcelé à sa représentation unifiée 20
1.2.2 L'enfant : l'objet de l'investissement maternel 26
1.2.3 Le stade du miroir, étape décisive dans l'élaboration de l'image du corps 32
1.3
– L'enfant vulnérable au risque alcoolique à l'âge adulte 37
1.4
– Le corps et sa représentation dans la maladie alcoolique 46
1.4.1 Le corps du sujet alcoolique 46
1.4.2 Les particularités de l'image du corps chez le malade alcoolique 51
2
- Deuxième Partie : Problématique et Hypothèses 59
2.1 – Problématique 59
2.2 – Hypothèses 74
3 - Troisième
Partie : Méthodologie 76
A – Lieu d'investigation 76
B – Population 77
C – Matériel 78
D – Méthode 79
4 – Quatrième Partie : Résultats 83
4.1
– Traitement des données 83
4.2
- Observations 84
4.3
- Analyse des données 87
4.3.1 Analyse des premiers dessins 88
4.3.2 Analyse comparative 88
5 – Cinquième Partie : Interprétation des résultats 91
5.1 – Validation des hypothèses 91
5.2 - Interprétation clinique 92
Discussion 94
Perspectives 96
Conclusion 102
Bibliographie 104
Annexes 107
RESUME
Atteint d'une pathologie
témoignant d'une altération de l'investissement psychique du corps, les malades
alcooliques offrent à l'observateur des corps à la dérive. Résultat d'un
investissement maternel incomplet, le corps du patient alcoolique s'avère
"paré" de "zones muettes", interdisant tout sensorium et
donc toutes activités psychiques y étant liées.
Traduction d'un corps devenu en partie insensible, l'image corporelle du
sujet alcoolique présente des troubles caractéristiques, conséquence d'une
élaboration incomplète.
Face à un tel tableau clinique, les thérapies de relaxation, en
favorisant le réinvestissement psychique du corps, apparaissent comme une
indication susceptible de permettre aux malades une reprise de l'élaboration de
leur représentation corporelle.
C'est un tel postulat que cette étude, en se centrant plus
particulièrement sur la phase du sevrage physique à l'alcool, désire mettre à
l'épreuve. Pour y parvenir, l'investigation a consisté à étudier sur des
patients hospitalisés (21 au total), l'effet de 5 séances de sophrologie, aux
contenus adaptés aux particularités de l'image du corps de ces sujets.
La méthodologie employée s'est résumée à l'analyse comparative de 2
dessins (le 1er en début de cure, et le 2ème en fin de
cure) réalisés par les patients représentant l'image qu'ils se faisaient de
leur propre corps.
Outre la confirmation de l'existence d'une image du corps caractéristique
des patients alcooliques, les résultats obtenus ont permis de confirmer que
l'emploi d'une thérapie de relaxation, en l'occurrence la sophrologie, était
susceptible de faciliter une meilleure élaboration de la représentation
corporelle sur la brève période que dure un sevrage physique à l'alcool, soit
14 jours.
Enfin, l'une des perspectives offerte par ce travail pourrait être
l'étude des effets de la poursuite de ce travail de sophrologie, sur la
symptomatologie dépressive - symptomatologie s'originant comme l'alcoolo-dépendance
dans un manque issu du ressenti corporel - présentée par bon nombre de sujet
dans les suites d'un sevrage.
MOTS CLES
-
Alcoolo-dépendance
-
Sevrage physique
-
Corps
-
Image du corps
-
Thérapie de relaxation
-
Sophrologie
-
Dessins
AVANT-PROPOS
Avant tout propos, il nous paraît
nécessaire d'avertir le lecteur sur le choix des orientations théoriques ayant
permis l'élaboration et la réalisation de cette recherche. Les lignes qui
suivent ont cette vocation.
En soulignant que le corps apparaît en
filigrane de toute la métapsychologie freudienne, W.PASINI[1] nous rappelle qu'au sein
de cette théorie, la psychogenèse s'opère à partir du soubassement corporel.
Ici, le psychisme, en constante référence à l'expérience somatique, se
développe grâce à un processus dit "d'étayage". Au début de sa vie,
le psychisme de l'être humain s'étaie sur le corps par l'intermédiaire des
échanges liés à son autoconservation, et ayant pour visée d'assurer la
satisfaction des besoins d 'ordres vitaux et
relationnels. "Processus dans lequel
quelque chose est à la fois éveillé dans le rapport au corps, se modèle et se
mobilise sur le corps et en même temps s 'en détache,
s 'en abstrait" pour R. ROUSSILLON[2], D. ANZIEU[3] définit quant à lui
l'étayage comme "le modèle d'un
lien dialectique entre le psychisme et le corps autant que le corps s'appuie
sur la psyché".
Ce qui peut alors se construire
au sein d'une telle symbiose, c'est le moi considéré par FREUD[4] comme étant "avant tout une entité corporelle, non
seulement une entité tout en surface, mais une entité correspondant à la
projection d 'une surface".
En conceptualisant un "moi corporel" projection d'une surface, FREUD établit ici une distinction entre ce qui relève d'une connaissance du corps découlant de la perception, et un point de vue strictement neurophysiologique privilégiant lui, le concept de schéma corporel[5] (W.PASINI)[6]. C'est par l'intermédiaire des sensations intra et extra corporelles (notamment de celles émanants de la surface du corps), recueillies par le "système perception – conscience" que le moi se constituera. "Le propre corps de l'individu et avant tout, sa surface, constitue une source d'où peuvent émaner à la fois des perceptions extérieures et des perceptions internes. Il est considéré comme un objet étranger, mais fournit au toucher deux variétés de sensations, dont l'une peut être assimilée à une perception interne" (S.FREUD )[7].
C'est indéniablement "considéré comme un objet étranger" par son propriétaire qu'apparaît le corps de l'alcoolique. Alors, ce corps abandonné, désincarné qui semble n'être plus réduit qu'à la seule fonction d'objet susceptible de contenir de l'alcool qui le remplit, témoigne du rapport particulier que l'alcoolique entretien avec lui, comme si ce corps ne pouvait être intéressant qu'au travers des seules sensations que l'alcool est susceptible d'y générer.
S'inscrivant dans cette réalité du corps dans la maladie alcoolique, le travail présenté ici admettra comme postulat de départ le fait que ce que le malade alcoolique exprime dans et par son corps, est la traduction d'une souffrance psychique.
Dès lors, accepter ce postulat aura deux conséquences intéressant directement l'organisation logique de ce mémoire de recherche.
La première de ces conséquences, sera l'emploi constant de
références théoriques en lien avec la psychanalyse. N'oublions pas que si
l'œuvre de S.FREUD nous renvoie souvent à la question du corps, c'est aussi
parce "que la psychanalyse est née
pour traiter des malades qui exprimaient par leur corps des souffrances, à
savoir les hystériques" [8].
Enfin, postuler l'existence d'une souffrance psychique dans et par le corps, nous amènera à appréhender un concept où la psyché et le soma se rencontrent, à savoir le concept d'image du corps.
INTRODUCTION
La rencontre des malades alcooliques semble rappeler à l'observateur que leur pathologie, à défaut de renvoyer à la réalité d'une structure psychopathologique spécifique et clairement différenciée des autres tableaux cliniques, renvoie à la réalité d'une intrication particulière du psychique et du somatique. C'est au travers de cette liaison "psyché-soma" que l'alcoolique élaborera l'image de son corps, témoignage des "conditions corporelles" ayant concouru à l'étayage du psychisme de ce sujet.
Ainsi, ce sont de ces rapports originaux conduisant à la construction de la représentation corporelle que le présent travail se propose d'étudier dans le cadre de l'alcoolodépendance.
Pour ce faire, ce mémoire présentera dans sa première partie une revue des principaux repères théoriques sur lesquels il s'appuie. Je me livrerai donc tout d'abord à une tentative de définition du concept d'image du corps, et ce grâce aux apports de S. FREUD (1923), P. SCHILDER (1935) et F. DOLTO (1984).
Puis nous aborderons la question de la genèse de cette image corporelle indépendamment de la pathologie alcoolique, dans un premier temps. Genèse que nous envisagerons depuis les premiers échanges s'effectuant entre le nourrisson et sa mère, jusqu'aux moments où l'équipement biologique de l'enfant lui permettra de "s'autopercevoir" lors du stade du miroir.
Arrivé à ce point de cette recherche, la réflexion théorique s'attachera à exposer les conditions prévalentes dans lesquelles s'engagera une relation mère-enfant susceptible de déboucher pour ce dernier, sur un état de potentielle vulnérabilité au risque alcoolique à l'âge adulte.
Vouloir saisir et comprendre les effets d'une telle relation amènera le propos à appréhender le sujet alcoolique et son corps, et plus particulièrement le corps du sujet alcoolique et la manière dont il peut le vivre. Par conséquence, nous étudierons la représentation à laquelle donnera lieu le vécu corporel.
Dans une deuxième partie, je m'attacherai à la fois à exposer la problématique ayant présidé à la réalisation de ce mémoire de recherche, à savoir celle d'une possible amélioration de l'élaboration de l'image du corps chez le patient alcoolique, et à présenter les hypothèses de travail autour desquelles s'est organisé cette problématique.
Dans un troisième point, il sera question de l'organisation méthodologique de l'étude, et notamment de sa prise en compte du lieu d'investigation, de la population étudiée et du mode de recueil de données qu'elle a retenu, à savoir le dessin par les malades alcooliques de l'image de leur corps.
Une fois la démarche méthodologique exposé, il conviendra alors d'aborder, dans une quatrième partie, la manière dont ont été traité et analysé les données "brutes" que j'ai pu recueillir tout au long de cette étude.
Ce traitement et cette analyse, me permettront de me livrer, dans une cinquième partie, à la mise à l'épreuve des hypothèses retenues, ainsi qu'a l'interprétation clinique des résultats obtenus. Enfin, je conclurai mon propos par la liste (non exhaustive) d'un certain nombre de critiques qui semblent susceptibles d'être faite à l'égard de ce travail. J'envisagerai également les perspectives que cette étude semble pouvoir offrir à de prochaines recherches.
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[4] S.FREUD (1923). Le moi et le ça. In Essais de psychanalyse . Paris : Payot. p 194.
[5] La notion de schéma corporel "concerne d'abord la présence du corps éprouvé, et pour laquelle non seulement comptent les afférences cénesthésiques, mais également les afférences extéroceptives, ainsi que toutes les expériences passées et leur souvenir acquis au long du développement psychomoteur; ce schéma corporel vaut non seulement comme une vérification statique mais soutient tout projet dynamique". G.ROSOLATO (1971). Recension du corps. Nouvelle revue de psychanalyse. p 7- 8.
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